Qu'une ressource, par exemple l'eau ou le savoir, soit durablement utilisée en commun, plutôt que consommée individuellement ou en excluant d'autres personnes.
Qu'un groupe spécifique s'occupe de la ressource et en prenne soin, plutôt que de la laisser à la merci de profiteurs.
Que ce groupe se soit mis d'accord sur des règles appropriées et transparentes, plutôt que d'accepter l'absence de régulation.
Que tous les utilisateur·ices aient droit de cité et voix au chapitre, plutôt que d'être systématiquement représentés par d'autres.
Que l'accès aux ressources soit largement auto-organisé, plutôt que déterminé de l'extérieur.
Que les avantages soit partagés, plutôt que concentrés.
Cette conception interroge fortement la notion de propriété privée sur des biens que l'on pourraient qualifier de communs... Pourtant c'est peu débattu actuellement.
Qu'est-ce que les communs ?
Contributions à la définition des communs, proposées par les participants de la rencontre organisée en Ile de France lors du festival Temps des communs en octobre 2015 (vidéo 5,30mn).
Qu'en disent les écolohumanistes, nos collègues animacoopiens de Lyon ?